La première fois que j’ai demandé à un ami ce qu’il souhaiterais que je dise à ses obsèques, il a cru que je racontais une blague sombre. Et nous avons eu une échange qui modifie des paradigmes.
Que souhaites-tu qu’on dise quand tu mourras cher ami? Qui voudrais tu y voir (si tu le pouvais). Imagine les proches, les amis qui passent au pupitre chacun rendre témoignage de ton passage sur terre.
Quelle personne voudrais tu qu’on décrive?
Quelles réalisations voudrais tu qu’on cite?
Quels souvenirs voudrais tu laisser dans la vie de toutes ces personnes présentes?
Une fois que nous réfléchissons à ces questions, nous devons comparer ces attentes à notre vie actuelle. C’est la fin qui nous donnera les objectifs réels que nous devons poursuivre sur cette terre. Un fois que nous avons identifié ces objectifs qui nous motivent, il faut s’atteler à ce que toutes nos actions concourent à leur réalisation.
- Quel genre de père de famille voudrais tu que tes enfants retiennent?
- Quel genre de personne souhaites tu que tes collègues retiennent après ta mort?
- Quel fidèle voudrais voir décrire le Pasteur (ou le Prêtre ou l’Imam) à ton décès?
Start with the end in mind comme le dit Stephen Covey. La visualisation de la fin nous permet de vivre une vie pleine et en conformité avec nos aspirations profondes
[…] The 7 habits of highly effective people ( Stephen R. Covey) […]