Samedi 5 septembre, 11 heures. Je reviens de Yopougon et je n’ai pas la pêche. Je roule à peine à 50 km/heure attirant sur moi le courroux des automobilistes qui me suivent. Sous l’échangeur au niveau de la Gendarmerie d’Agban, un gros ralentissement, oui, les radars sont en place.

Sourire en coin j’avance doucement ne me doutant pas de la désagréable surprise qui m’attend. On me fait signe de me ranger sur le bas côté et on me dit que je fais de l’excès de vitesse.

Pardi!« A quelle vitesse roulais-je? 83 km/heure monsieur! Sans balgue.

Et bien monsieur l’agent, je ne vous donne pas mes pièces et je ne paie rien aujourd’hui [….] Ils doivent être en panne. J’ai vraiment du mal à comprendre que tous ceux qu’ils arrêtent roulent à 83 km/heure. 

Il faut les réparer ces radars ou bien soigner les agents qui les utilisent. Ils souffrent de mauvaise… foi. Et ce n’est pas la peine d’aller à l’OSER pour payer. Ils vont vous enlever toute envie de recommencer ce zèle!

Sacrés radars !